Venezuela: Avec ou sans référendum, l'opposition intensifie sa campagne pour évincer du pouvoir Madouri
L'opposition au Venezuela tentera cette semaine pour accélérer le départ du pouvoir du président socialiste du pays Nicolás Maduro, tant au parlement où une majorité, et dans la rue, et a appelé à une mobilisation massive de la journée après que des partisans mercredi.
"Coup", "dictature", "la dissolution de l'ordre constitutionnel": rampage, l'opposition vénézuélienne ne ménage pas des mots durs après l'annonce jeudi dernier par la Commission électorale nationale (CNE) pour être reportées indéfiniment le processus de référendum révocatoire.
Ce processus, qui avait été ouvert pendant des mois, devait entrer dans la dernière ligne droite de cette semaine avec une nouvelle collection de signatures.
Demain mardi Table ronde Alliance pour l'unité démocratique (MUD, centre-droit) a invité à être au parlement une réunion qui pourrait "conduire à un processus" afin de se débarrasser de son bureau le président Madouri, que l'opposition accuse qui a orchestré par la CNE «coup d'Etat», à la tête de la majorité Julio Borges.
Une décision adoptée hier, le Parlement du Venezuela parle de "commission de coup d'Etat du régime Nicolás Maduro", et indique que «d'autres mesures dépendront de ce qui sera décidé mardi", prédit Jose Ignacio Hernandez, un expert sur les questions droit constitutionnel, pour lequel le pays est "face à une situation compliquée, qui pourrait évoluer rapidement."
Comme le processus référendaire est dans l'impasse, l'opposition considère tous les moyens à sa disposition pour obtenir le retrait du pouvoir de Nicolás Maduro, qui a été élu en 2013 et dont le mandat est officiellement achevé en 2019.
Toutefois, un représentant de François, a assumé un rôle de médiateur; Il a annoncé après une réunion entre le chef de l'Eglise catholique romaine avec le président du Venezuela pour entamer un dialogue entre le gouvernement et l'opposition le 30 Octobre.
L'opposition au Venezuela tentera cette semaine pour accélérer le départ du pouvoir du président socialiste du pays Nicolás Maduro, tant au parlement où une majorité, et dans la rue, et a appelé à une mobilisation massive de la journée après que des partisans mercredi.
"Coup", "dictature", "la dissolution de l'ordre constitutionnel": rampage, l'opposition vénézuélienne ne ménage pas des mots durs après l'annonce jeudi dernier par la Commission électorale nationale (CNE) pour être reportées indéfiniment le processus de référendum révocatoire.
Ce processus, qui avait été ouvert pendant des mois, devait entrer dans la dernière ligne droite de cette semaine avec une nouvelle collection de signatures.
Demain mardi Table ronde Alliance pour l'unité démocratique (MUD, centre-droit) a invité à être au parlement une réunion qui pourrait "conduire à un processus" afin de se débarrasser de son bureau le président Madouri, que l'opposition accuse qui a orchestré par la CNE «coup d'Etat», à la tête de la majorité Julio Borges.
Une décision adoptée hier, le Parlement du Venezuela parle de "commission de coup d'Etat du régime Nicolás Maduro", et indique que «d'autres mesures dépendront de ce qui sera décidé mardi", prédit Jose Ignacio Hernandez, un expert sur les questions droit constitutionnel, pour lequel le pays est "face à une situation compliquée, qui pourrait évoluer rapidement."
Comme le processus référendaire est dans l'impasse, l'opposition considère tous les moyens à sa disposition pour obtenir le retrait du pouvoir de Nicolás Maduro, qui a été élu en 2013 et dont le mandat est officiellement achevé en 2019.
Toutefois, un représentant de François, a assumé un rôle de médiateur; Il a annoncé après une réunion entre le chef de l'Eglise catholique romaine avec le président du Venezuela pour entamer un dialogue entre le gouvernement et l'opposition le 30 Octobre.
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