Τρίτη 31 Ιανουαρίου 2017

L'interdiction d'entrée des États-Unis peut être prolongée, met en garde le gouvernement


Certains des sept pays musulmans mentionnés dans le président Donald Trump décret sur l'immigration ne sera probablement pas sortir de cette liste d'interdictions bientôt, a déclaré aujourd'hui le ministre de la sécurité intérieure John Kelly.

Dans une interview à la presse Kelly, cependant, a dit que les citoyens des sept pays ayant la double nationalité seront autorisés à entrer aux États-Unis si elles utilisent le passeport du pays ne soit pas affectée par la mesure.

On a demandé au nouveau ministre sur le décret signé par le président Trump vendredi dernier, qui a refusé l'entrée aux États-Unis à tous ceux qui viennent de l'Iran, l'Irak, la Libye, la Somalie, le Soudan, la Syrie et le Yémen 90 jours et l'admission des réfugiés pendant 120 jours.

Le décret a provoqué la confusion dans les aéroports à travers le monde, ainsi que les agents des douanes et les compagnies aériennes qui tentent d'interpréter les nouveaux règlements. De nombreuses procédures judiciaires intentées contre le décret a violemment critiqué par les démocrates d'organisations pour les droits de l'homme ainsi que les pays occidentaux, alliés des États-Unis.

Depuis l'entrée en vigueur du décret refuser l'entrée aux États-Unis sur les 721 voyageurs en provenance des sept pays mentionnés ci-dessus, comme mentionné par Kevin MakAlinan, le chef par intérim par intérim du Service des douanes et de protection des frontières.

Kelly pour sa part noté que les fonctionnaires fédéraux des services d'immigration et les bureaux sont conformes aux décisions judiciaires en matière d'immigration et non à violer délibérément ou sciemment.

Le décret Trump peut se révéler inefficace, car elle a été prise «à l'aveugle», estime l'ONU Guterres Secrétaire Général

Le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a critiqué aujourd'hui l'ordonnance anti-immigrés du nouveau président des États-Unis d'Amérique qui vise collectivement les citoyens de sept pays musulmans, soulignant que les mesures prises «à l'aveugle», il y a un risque que inefficace.

Tous les pays "ont le droit ou le devoir de contrôler leurs frontières pour éviter d'entrer (sur leur territoire) membres d'organisations terroristes", at-il expliqué dans une déclaration faite à la publicité Secrétaire général des Nations Unies, mais a souligné que les mesures adopté à cette "ne peut pas être fondé sur une forme de discrimination fondée sur la religion, l'origine ethnique ou de la nationalité."

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